Publié le 30/06/2013 à 22:00
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Selon un dernier bilan, ces manifestations massives auraient fait 16 victimes.
Le mouvement Tamarrod, à l'origine de la contestation contre le président égyptien, appelle maintenant le chef de l'Etat à quitter le pouvoir.
En cas de refus, le mouvement déclare que mardi soir, il ferait preuve d'une désobéissance civile totale.
Hier, ce sont 14 millions de manifestants, selon une source militaire voire 17 millions d'Egyptiens, selon d'autres sources qui sont descendus dans les rues des principales villes d'Egypte pour demander la démission de Mohamed Morsi, premier dirigeant islamiste de l'histoire du pays.
les manifestants défilant sous le slogan "Dégage !" restent exaspérés par son année de mandat placée sous le sceau de la crise économique, des pénuries et de l'autoritarisme du nouveau pouvoir.
A l'issue d'une longue nuit de troubles et de manifestations, les Frères musulmans, qui se croyaient hier encore maîtres de l'Egypte, ont pu constater l'ampleur du rejet dont ils font l'objet dans la population égyptienne après un an aux affaires.
A titre de comparaison, le raz-de-marée de dimanche dépasse de très loin les rassemblements de la révolution du 25 janvier 2011 qui avaient conduit à la chute d'Hosni Moubarak au terme de dix-huit jours de manifestations.
La place Tahrir, qui avait accueilli jusqu'à 250 000 manifestants à l'époque, a rassemblé, dimanche, le double de protestataires.
Le mouvement Tamarrod, à l'origine de la contestation contre le président égyptien, appelle maintenant le chef de l'Etat à quitter le pouvoir.
En cas de refus, le mouvement déclare que mardi soir, il ferait preuve d'une désobéissance civile totale.
Hier, ce sont 14 millions de manifestants, selon une source militaire voire 17 millions d'Egyptiens, selon d'autres sources qui sont descendus dans les rues des principales villes d'Egypte pour demander la démission de Mohamed Morsi, premier dirigeant islamiste de l'histoire du pays.
les manifestants défilant sous le slogan "Dégage !" restent exaspérés par son année de mandat placée sous le sceau de la crise économique, des pénuries et de l'autoritarisme du nouveau pouvoir.
A l'issue d'une longue nuit de troubles et de manifestations, les Frères musulmans, qui se croyaient hier encore maîtres de l'Egypte, ont pu constater l'ampleur du rejet dont ils font l'objet dans la population égyptienne après un an aux affaires.
A titre de comparaison, le raz-de-marée de dimanche dépasse de très loin les rassemblements de la révolution du 25 janvier 2011 qui avaient conduit à la chute d'Hosni Moubarak au terme de dix-huit jours de manifestations.
La place Tahrir, qui avait accueilli jusqu'à 250 000 manifestants à l'époque, a rassemblé, dimanche, le double de protestataires.