Publié le 12/06/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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Plus de 12 000 personnes manifestaient en Grèce jeudi à la mi-journée, selon la police, dans le cadre d’une grève générale contre la fermeture par le gouvernement de la radiotélévision publique ERT.
Annonce qui a provoqué un choc dans l’opinion publique, suscitant des réactions à l’étranger.
A Athènes, près de 10 000 personnes ont répondu à l’appel d’un rassemblement des syndicats du privé et du public, GSEE et Adedy, devant le siège de la ERT à Aghia Paraskevi, dans la banlieue nord d’Athènes pour dénoncer les politiques d’austérité qui touchent le service public.
Annonce qui a provoqué un choc dans l’opinion publique, suscitant des réactions à l’étranger.
A Athènes, près de 10 000 personnes ont répondu à l’appel d’un rassemblement des syndicats du privé et du public, GSEE et Adedy, devant le siège de la ERT à Aghia Paraskevi, dans la banlieue nord d’Athènes pour dénoncer les politiques d’austérité qui touchent le service public.
Le syndicat de la fonction publique et du secteur privé ont lancé cet appel à la grève pour exprimer leur "solidarité aux employés de la télévision publique".
Ils dénoncent cette fermeture antidémocratique, et ont qualifié de "coup d'Etat" la décision du premier ministre Antonio Samaras, qui a justifié cette décision par des coupes budgétaires nécessaires.
L’ERT est critiquée pour ses privilèges, son clientélisme, et sa mauvaise gestion, que respectée dans les milieux culturels pour l’exigence de son travail, notamment en matière de documentaires.
Depuis le début de la crise de la dette en 2010, les salariés du groupe ont beaucoup souffert des coupes imposées sur les salaires, évaluées à 45% par les syndicats.
L’ERT est critiquée pour ses privilèges, son clientélisme, et sa mauvaise gestion, que respectée dans les milieux culturels pour l’exigence de son travail, notamment en matière de documentaires.
Depuis le début de la crise de la dette en 2010, les salariés du groupe ont beaucoup souffert des coupes imposées sur les salaires, évaluées à 45% par les syndicats.
