Publié le 30/06/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
min

Les Européens ont exigé des explications sur le programme d’espionnage américain.
Ce programme aurait visé les institutions de l’UE et des millions de citoyens européens, alors que, dernier épisode en date, le quotidien britannique The Guardian a affirmé dimanche que la France, l’Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 cibles surveillées par l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).
Il s'agissait non seulement de micros installés dans le bâtiment, mais aussi d'une infiltration du réseau informatique qui permettait de lire les courriers électroniques et les documents internes.
Face au déluge de documents communiqués via l’ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d’un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d’espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d’une zone de libre-échange transatlantique.
En France. Plusieurs voix, à gauche et à droite, saisissent l'occasion de dénoncer les négociations en cours sur ce potentiel accord de libre-échange avec les Etats-Unis.
Le gouvernement est resté pour l'heure, plus mesuré.
Ce programme aurait visé les institutions de l’UE et des millions de citoyens européens, alors que, dernier épisode en date, le quotidien britannique The Guardian a affirmé dimanche que la France, l’Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 cibles surveillées par l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).
Il s'agissait non seulement de micros installés dans le bâtiment, mais aussi d'une infiltration du réseau informatique qui permettait de lire les courriers électroniques et les documents internes.
Face au déluge de documents communiqués via l’ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d’un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d’espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d’une zone de libre-échange transatlantique.
En France. Plusieurs voix, à gauche et à droite, saisissent l'occasion de dénoncer les négociations en cours sur ce potentiel accord de libre-échange avec les Etats-Unis.
Le gouvernement est resté pour l'heure, plus mesuré.