Publié le 03/06/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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Abdullah Comert a été grièvement blessé par des coups de feu tirés par une personne non identifiée.
Il est mort dans la nuit à l'hôpital.
Il s'agit du 2e décès en lien avec les importantes manifestations qui secouent le pays depuis près d'une semaine pour protester contre le parti gouvernemental islamo-conservateur Justice et développement (AKP).
Selon un parlementaire du principal parti d'opposition, Hasan Akgol, Abdullah Comert était membre de la section des Jeunes du Parti du peuple républicain.
La police a lancé une enquête sur les circonstances du décès, selon la télévision.
Depuis vendredi, les heurts se sont multipliés dans tout le pays entre les forces de l'ordre et les manifestants qui accusent le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan de vouloir imposer des réformes conservatrices et islamistes dans la Turquie laïque.
Les violences des trois derniers jours ont fait 2 morts, plus de mille blessés à Istanbul et au moins 700 à Ankara, selon les organisations de défense des droits de l'homme et les syndicats de médecins des deux villes.
La brutalité de la répression, largement évoquée sur les réseaux sociaux turcs, a suscité de nombreuses critiques dans les pays occidentaux.
Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont ainsi dénoncé la brutalité de la répression.
Il est mort dans la nuit à l'hôpital.
Il s'agit du 2e décès en lien avec les importantes manifestations qui secouent le pays depuis près d'une semaine pour protester contre le parti gouvernemental islamo-conservateur Justice et développement (AKP).
Selon un parlementaire du principal parti d'opposition, Hasan Akgol, Abdullah Comert était membre de la section des Jeunes du Parti du peuple républicain.
La police a lancé une enquête sur les circonstances du décès, selon la télévision.
Depuis vendredi, les heurts se sont multipliés dans tout le pays entre les forces de l'ordre et les manifestants qui accusent le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan de vouloir imposer des réformes conservatrices et islamistes dans la Turquie laïque.
Les violences des trois derniers jours ont fait 2 morts, plus de mille blessés à Istanbul et au moins 700 à Ankara, selon les organisations de défense des droits de l'homme et les syndicats de médecins des deux villes.
La brutalité de la répression, largement évoquée sur les réseaux sociaux turcs, a suscité de nombreuses critiques dans les pays occidentaux.
Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont ainsi dénoncé la brutalité de la répression.