Publié le 25/07/2013 à 22:00
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Le trafic a été rétabli ce vendredi matin vers 7h50 sur la voie 2, l'une des voies touchées par l'accident de train mercredi à Saint-Jacques de Compostelle, dans le nord-ouest de l'Espagne.
La catastrophe a fait 80 morts et 178 blessés, dont 94 étaient toujours hospitalisés jeudi soir, 35 dans un état critique.
67 corps ont été formellement identifiés. Treize dépouilles doivent encore être autopsiées.
L'identification des victimes se poursuit. Deux enquêtes, judiciaire et administrative, ont été ouvertes, alors que la thèse de la vitesse excessive est privilégiée.
L'accident s'est produit à 20h42 mercredi sur un tronçon de voie à grande vitesse reliant Madrid à El Ferrol, sur la côte atlantique, dans un virage très prononcé à environ 4 km de la gare. .
L'un des deux conducteurs entendu ce vendredi par la police. Blessé, Francisco José Garzon, 52 ans, a été placé sous surveillance policière à l'hôpital où il est entendu par la police.
L'homme a reconnu rouler à 190 km/h alors qu'il abordait la zone limitée à 80 km/h.
Il s'agit de la tragédie ferroviaire la plus grave dans le pays depuis 1944.
Trois jours de deuil national on été annoncés par le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.
La Galice a décidé d'une durée de sept jours de deuil.
La catastrophe a fait 80 morts et 178 blessés, dont 94 étaient toujours hospitalisés jeudi soir, 35 dans un état critique.
67 corps ont été formellement identifiés. Treize dépouilles doivent encore être autopsiées.
L'identification des victimes se poursuit. Deux enquêtes, judiciaire et administrative, ont été ouvertes, alors que la thèse de la vitesse excessive est privilégiée.
L'accident s'est produit à 20h42 mercredi sur un tronçon de voie à grande vitesse reliant Madrid à El Ferrol, sur la côte atlantique, dans un virage très prononcé à environ 4 km de la gare. .
L'un des deux conducteurs entendu ce vendredi par la police. Blessé, Francisco José Garzon, 52 ans, a été placé sous surveillance policière à l'hôpital où il est entendu par la police.
L'homme a reconnu rouler à 190 km/h alors qu'il abordait la zone limitée à 80 km/h.
Il s'agit de la tragédie ferroviaire la plus grave dans le pays depuis 1944.
Trois jours de deuil national on été annoncés par le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.
La Galice a décidé d'une durée de sept jours de deuil.