Publié le 03/11/2013 à 23:00
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Suite à l'assassinat des deux journaliste de RFI, le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a indiqué hier que "les assassins sont ceux que nous combattons, les groupes terroristes qui refusent la démocratie et refusent les élections",
Il a précisé dans quelles circonstances les deux journalistes étaient morts : ils ont été "assassinés froidement, l'un de deux balles, l'autre de trois balles, et ont été retrouvés à quelques mètres de la voiture fermée à clé".
Il n'y avait "aucun impact de balle sur la voiture", a-t-il ajouté.
Enfin, le chef de la diplomatie française a également déclaré que "la sécurisation de l'ensemble de la zone" de Kidal et des "zones voisines va être accrue".
A cet égard, le parquet de Paris a ouvert une enquête samedi pour des faits d'enlèvement et de séquestration suivis de meurtres en lien avec une entreprise terroriste.
L'enquête, sous l'autorité du parquet de Paris, a été confiée à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et à la sous-direction antiterroriste (SDAT).
A l'issue d'un entretien téléphonique entre François Hollande et son homologue malien Ibrahim Boubacar Keita, samedi, les deux chefs d'Etat avaient "marqué leur volonté de poursuivre sans relâche la lutte contre les groupes terroristes qui restent présents au nord du Mali", avait indiqué l'Elysée dans un communiqué.
"Les meurtres odieux commis aujourd'hui à Kidal ne peuvent que renforcer la détermination des deux Etats à poursuivre et à remporter ce combat commun contre le terrorisme", avaient-ils ajouté.
Il a précisé dans quelles circonstances les deux journalistes étaient morts : ils ont été "assassinés froidement, l'un de deux balles, l'autre de trois balles, et ont été retrouvés à quelques mètres de la voiture fermée à clé".
Il n'y avait "aucun impact de balle sur la voiture", a-t-il ajouté.
Enfin, le chef de la diplomatie française a également déclaré que "la sécurisation de l'ensemble de la zone" de Kidal et des "zones voisines va être accrue".
A cet égard, le parquet de Paris a ouvert une enquête samedi pour des faits d'enlèvement et de séquestration suivis de meurtres en lien avec une entreprise terroriste.
L'enquête, sous l'autorité du parquet de Paris, a été confiée à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et à la sous-direction antiterroriste (SDAT).
A l'issue d'un entretien téléphonique entre François Hollande et son homologue malien Ibrahim Boubacar Keita, samedi, les deux chefs d'Etat avaient "marqué leur volonté de poursuivre sans relâche la lutte contre les groupes terroristes qui restent présents au nord du Mali", avait indiqué l'Elysée dans un communiqué.
"Les meurtres odieux commis aujourd'hui à Kidal ne peuvent que renforcer la détermination des deux Etats à poursuivre et à remporter ce combat commun contre le terrorisme", avaient-ils ajouté.