Publié le 04/06/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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La France a confirmé l'utilisation de gaz sarin en Syrie par le régime de Bachar al Assad.
Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères s'appuie sur les résultats d'analyses de sang et des échantillons de victimes d'attaque de gaz, recueillis dans la région de Damas.
François Hollande avait rappelé le mois dernier que l'utilisation de ce gaz qui tue par arrêt cardio-respiratoire, pourrait amener une intervention.
Laurent Fabius a précisé hier soir que toutes les options sont sur la table, y compris celle d'une action armée. Mais pour le moment, la priorité reste la négociation du côté du Quai d'Orsay.
La France veut faire pression sur le président Bachar al-Assad pour qu'il permette enfin aux inspecteurs de l'ONU de venir enquêter en Syrie.
Pour les Nations unies, les éléments apportés pour le moment par la France sont par nature insuffisants.
Les États-Unis de leur côté déclarent que la ligne rouge n'a pas encore été franchie.
Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères s'appuie sur les résultats d'analyses de sang et des échantillons de victimes d'attaque de gaz, recueillis dans la région de Damas.
François Hollande avait rappelé le mois dernier que l'utilisation de ce gaz qui tue par arrêt cardio-respiratoire, pourrait amener une intervention.
Laurent Fabius a précisé hier soir que toutes les options sont sur la table, y compris celle d'une action armée. Mais pour le moment, la priorité reste la négociation du côté du Quai d'Orsay.
La France veut faire pression sur le président Bachar al-Assad pour qu'il permette enfin aux inspecteurs de l'ONU de venir enquêter en Syrie.
Pour les Nations unies, les éléments apportés pour le moment par la France sont par nature insuffisants.
Les États-Unis de leur côté déclarent que la ligne rouge n'a pas encore été franchie.