Publié le 15/05/2018 à 04:36
Temps de lecture : 2
min
La France condamne les dernières violences en Israel survenue hier.
Et pour cause, ces "violences" ont causé la mort de 55 Palestiniens, tous tués par l'armée israélienne lors de manifestations et de heurts contre le transfert à Jérusalem de l'ambassade des États-Unis en Israël. Il y a eu également 2400 blessés.
Le président Emmanuel Macron "parlera à tous les acteurs de la région dans les prochains jours", a précisé la présidence de la République. La présidence rappelle qu'Emmanuel Macron avait "alerté et mis en garde sur les répercussions" de la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. Le 6 décembre dernier, il avait qualifié de "regrettable" la décision prise le même jour par Donald Trump, "que la France n'approuve pas".
Le Hamas responsables pour Trump et Netanyahu
La Maison Blanche a imputé au Hamas la "responsabilité" des 55 Palestiniens tués par l'armée israélienne dans la bande de Gaza. Une position partagée par le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Ce dernier a défendu l'usage de la force par le droit de son pays à protéger ses frontières contre l'organisation "terroriste" Hamas.
Et pour cause, ces "violences" ont causé la mort de 55 Palestiniens, tous tués par l'armée israélienne lors de manifestations et de heurts contre le transfert à Jérusalem de l'ambassade des États-Unis en Israël. Il y a eu également 2400 blessés.
Le président Emmanuel Macron "parlera à tous les acteurs de la région dans les prochains jours", a précisé la présidence de la République. La présidence rappelle qu'Emmanuel Macron avait "alerté et mis en garde sur les répercussions" de la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. Le 6 décembre dernier, il avait qualifié de "regrettable" la décision prise le même jour par Donald Trump, "que la France n'approuve pas".
Le Hamas responsables pour Trump et Netanyahu
La Maison Blanche a imputé au Hamas la "responsabilité" des 55 Palestiniens tués par l'armée israélienne dans la bande de Gaza. Une position partagée par le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Ce dernier a défendu l'usage de la force par le droit de son pays à protéger ses frontières contre l'organisation "terroriste" Hamas.