Publié le 15/03/2019 à 05:32
Temps de lecture : 2
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Deux mosquées attaquées en Nouvelle-Zélande.
Des policiers armés ont été déployés dans le centre de la ville de Christchurch alors que les médias locaux ont évoqué deux fusillades dans deux mosquées de cette localité de l'île du Sud. Après l'arrestation d'un premier suspect, la police a annoncé l'arrestation de quatre personnes. Selon un dernier bilan, il y aurait une quarantaine de morts et plusieurs dizaines de blessés.
En ce jour de prière pour les musulmans, la police demande aux fidèles d’éviter les mosquées « partout en Nouvelle-Zélande ». Un grand périmètre dans cette ville de l’île du Sud a été bouclée par les forces de l’ordre.
Une ville en état de siège
Le commissaire Bush a expliqué que toutes les écoles de la ville avaient été bouclées : « La police appelle tous ceux qui sont présents dans le centre de Christchurch à ne pas descendre dans la rue et à signaler tout comportement suspect ».
Des bâtiments publics comme la bibliothèque centrale étaient aussi fermés. La municipalité a ouvert une ligne de téléphone d’urgence pour les parents inquiets du sort de leurs enfants, qui participaient à une marche contre le changement climatique non loin de là.
Des policiers armés ont été déployés dans le centre de la ville de Christchurch alors que les médias locaux ont évoqué deux fusillades dans deux mosquées de cette localité de l'île du Sud. Après l'arrestation d'un premier suspect, la police a annoncé l'arrestation de quatre personnes. Selon un dernier bilan, il y aurait une quarantaine de morts et plusieurs dizaines de blessés.
En ce jour de prière pour les musulmans, la police demande aux fidèles d’éviter les mosquées « partout en Nouvelle-Zélande ». Un grand périmètre dans cette ville de l’île du Sud a été bouclée par les forces de l’ordre.
Une ville en état de siège
Le commissaire Bush a expliqué que toutes les écoles de la ville avaient été bouclées : « La police appelle tous ceux qui sont présents dans le centre de Christchurch à ne pas descendre dans la rue et à signaler tout comportement suspect ».
Des bâtiments publics comme la bibliothèque centrale étaient aussi fermés. La municipalité a ouvert une ligne de téléphone d’urgence pour les parents inquiets du sort de leurs enfants, qui participaient à une marche contre le changement climatique non loin de là.