Publié le 06/11/2017 à 07:51
Temps de lecture : 2
min
Au moins 26 morts et 20 blessés, dans une église au Texas.
C'est le dernier bilan arrivé tôt ce matin après le carnage survenu ce week-end à Sutherland Spring.
Les victimes sont âgées de 5 à 70 ans. Le tueur, lui, est un homme blanc, ex militaire et âgé d'une vingtaine d'années. Il portait un gilet pare-balles et un fusil d'assaut. Il a été retrouvé mort dans son véhicule quelques km plus loin, sans que la police ne sache s'il a été abattu par un citoyen ou par les forces de l'ordre présentes sur place.
En visite en Asie, le président américain Donald Trump, n'a pas manqué de réagir à ces informations. Quelques heures après les faits, sur Twitter, le président américain a expliqué qu'il "surveillait la situation depuis le Japon", où il est en voyage officiel. Comme lors de tant d'autres fusillades avant celle-ci, les démocrates ont profité de l'occasion pour renouveler les appels au contrôle des armes à feu, une question brûlante dans un pays qui considère le droit de porter des armes comme presque sacré.
Dénonçant un « acte de haine », l'ex-président Barack Obama a déclaré : « que Dieu nous accorde aussi à tous la sagesse de nous demander quelles mesures concrètes nous pouvons prendre pour réduire la violence et les armes parmi nous ».
C'est le dernier bilan arrivé tôt ce matin après le carnage survenu ce week-end à Sutherland Spring.
Les victimes sont âgées de 5 à 70 ans. Le tueur, lui, est un homme blanc, ex militaire et âgé d'une vingtaine d'années. Il portait un gilet pare-balles et un fusil d'assaut. Il a été retrouvé mort dans son véhicule quelques km plus loin, sans que la police ne sache s'il a été abattu par un citoyen ou par les forces de l'ordre présentes sur place.
En visite en Asie, le président américain Donald Trump, n'a pas manqué de réagir à ces informations. Quelques heures après les faits, sur Twitter, le président américain a expliqué qu'il "surveillait la situation depuis le Japon", où il est en voyage officiel. Comme lors de tant d'autres fusillades avant celle-ci, les démocrates ont profité de l'occasion pour renouveler les appels au contrôle des armes à feu, une question brûlante dans un pays qui considère le droit de porter des armes comme presque sacré.
Dénonçant un « acte de haine », l'ex-président Barack Obama a déclaré : « que Dieu nous accorde aussi à tous la sagesse de nous demander quelles mesures concrètes nous pouvons prendre pour réduire la violence et les armes parmi nous ».