Publié le 28/07/2013 à 22:00
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Au moins 39 personnes sont mortes et une dizaine ont été grièvement blessées dimanche soir dans le spectaculaire accident d’un autocar transportant des pèlerins près d’Avellino, dans la région de Naples.
Il s’agit d’un des accidents de car les plus meurtriers en Europe ces dernières années. Le dernier, en mars 2012 en Suisse, avait fait 28 morts dont 22 enfants.
L’autocar, qui a effectué un véritable vol plané depuis un pont routier, transportait 48 passagers dont de nombreux enfants, tous originaires de la province de Naples.
L'autocar a été quasiment désintégré dans le choc.
Ils revenaient d’un pèlerinage à Pietrelcina, la ville natale de Padre Pio, un prêtre italien canonisé en 2002 et vénéré dans le sud de l’Italie.
Cette tragédie représente un «moment très triste pour l’Italie», a réagi le Premier ministre italien Enrico Letta, en visite à Athènes.
Avant d’entamer son intervention lors d’une conférence sur l’Europe et la crise, il a observé une minute de silence en hommage aux victimes.
Le parquet d’Avellino a ouvert une enquête pour homicides involontaires.
L’enquête portera non seulement sur l’éventuelle responsabilité du chauffeur du bus, mort dans l’accident, mais aussi sur l’état du véhicule et la qualité de la barrière de protection défoncée par l’autocar pendant sa course folle.
Il s’agit d’un des accidents de car les plus meurtriers en Europe ces dernières années. Le dernier, en mars 2012 en Suisse, avait fait 28 morts dont 22 enfants.
L’autocar, qui a effectué un véritable vol plané depuis un pont routier, transportait 48 passagers dont de nombreux enfants, tous originaires de la province de Naples.
L'autocar a été quasiment désintégré dans le choc.
Ils revenaient d’un pèlerinage à Pietrelcina, la ville natale de Padre Pio, un prêtre italien canonisé en 2002 et vénéré dans le sud de l’Italie.
Cette tragédie représente un «moment très triste pour l’Italie», a réagi le Premier ministre italien Enrico Letta, en visite à Athènes.
Avant d’entamer son intervention lors d’une conférence sur l’Europe et la crise, il a observé une minute de silence en hommage aux victimes.
Le parquet d’Avellino a ouvert une enquête pour homicides involontaires.
L’enquête portera non seulement sur l’éventuelle responsabilité du chauffeur du bus, mort dans l’accident, mais aussi sur l’état du véhicule et la qualité de la barrière de protection défoncée par l’autocar pendant sa course folle.