Publié le 20/06/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
min
Les tentions ne faiblissent pas au Brésil.
Dans ces manifestations on dénombre un mort et plusieurs dizaine de blessés.
Une marée humaine a envahi hier les rues de Rio, à l'appel des réseaux sociaux quelques 300.000 manifestants ont envahi le pavé, poussant la présidente Dilma Rousseff à annuler un voyage officiel prévu au Japon.
On dénombre près de 62 blessés rien qu'à Rio de Janeiro.
Des manifestants ont brisé des vitrines, pillé au moins un magasin d'électroménagers et une grande confusion a régné tout la soirée.
Une foule immense à défiler dans le centre administratif et commercial, aux cris de : «Le Brésil s'est arrêté ! Le Brésil s'est arrêté !» .
Avec ce nouveau tour de force, les protestataires ont exprimé, encore une fois avec une grande violence, le profond ras-le-bol face à des services publics indigents, à la corruption de la classe politique et aux dépenses somptuaires de 11 milliards d'euros prévus pour le prochain Mondial.
Dans ces manifestations on dénombre un mort et plusieurs dizaine de blessés.
Une marée humaine a envahi hier les rues de Rio, à l'appel des réseaux sociaux quelques 300.000 manifestants ont envahi le pavé, poussant la présidente Dilma Rousseff à annuler un voyage officiel prévu au Japon.
On dénombre près de 62 blessés rien qu'à Rio de Janeiro.
Des manifestants ont brisé des vitrines, pillé au moins un magasin d'électroménagers et une grande confusion a régné tout la soirée.
Une foule immense à défiler dans le centre administratif et commercial, aux cris de : «Le Brésil s'est arrêté ! Le Brésil s'est arrêté !» .
Avec ce nouveau tour de force, les protestataires ont exprimé, encore une fois avec une grande violence, le profond ras-le-bol face à des services publics indigents, à la corruption de la classe politique et aux dépenses somptuaires de 11 milliards d'euros prévus pour le prochain Mondial.