Sauf que quand il y a erreur sur le destinataire, le retour de flamme peut être fatal ! C’est précisément ce qui est arrivé a une employée d'une entreprise de Perth, qui a été licenciée en janvier 2014.
Cette jeune femme avait envoyé par erreur un sms où elle traitait son patron de "vrai gland"...texto qui est arrivé sur le portable du patron en question.
Le sms déclencheur n'était évidemment pas destiné au patron mais à un ami.
Lorsqu'elle s'est rendu compte de sa bêtise, elle a tenté le tout pour le tout en envoyant à son chef un nouveau message pour lui demander de supprimer sans le lire, le sms qu’elle venait d'envoyer. La femme s'est ensuite confondu en excuses, faisant son mea culpa pour avoir fait preuve d'un humour grossier et d'exagérations, notamment dans l'expression "vrai gland".
Après avoir été virée, l'ex-employée a porté plainte avec l'argument que la comparaison faite de son patron avec les parties génitales de celui-ci n'était qu'une "blague". Les juges ont pourtant estimé qu'il s'agissait d'une "évaluation blessante".
