Publié le 26/06/2014 à 06:55
Temps de lecture : 1
min

Achetée à bas prix à Londres, on pouvait y lire: "Forcé à d'épuisantes journées de travail".
Bien qu'il n'y ait aucune preuve que l'étiquette ait été cousue par un travailleur exploité, la jeune femme prend ça comme un SOS. Elle reconsidère ses achats dans les enseignes à bas prix.
Un porte-parole de l'enseigne ou elle a acheté sa robe, a indiqué qu'il n'y avait eu "aucun autre incident du genre". La chaîne a promis d'enquêter si la jeune femme ramenait la robe au magasin.